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Le Madrigal de Nîmes

Thaïs Raï

Soprano

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Vincent Lièvre-Picard

Ténor

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Sébastien Brohier

Basse

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Camille Tresmontant

Ténor

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Frédéric Cornille

Baryton Lyrique

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Apolline Raï-Westphal

Soprano

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Els Janssens

Mezzo Soprano

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Sébastien Mazoyer

Accordéoniste

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Ulrich Messthaler

Basse

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Raphaële Kennedy

Soprano

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Michel Chanard

Pianiste, Organiste

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Ensemble Colla Parte

Ensemble Instrumental

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Thaïs Raï

Soprano

Après l’étude du piano et du violon dans l’enfance, Thaïs intègre Opéra Junior Montpellier Occitanie à l’âge de 14 ans et obtient un premier rôle dans le Beggar’s Opera de Benjamin Britten sur la scène de l’Opéra de Montpellier.
Un an plus tard, elle rejoint la Maîtrise de Radio France dirigée par Sofi Jeannin pour y suivre un double- cursus jusqu’à l’obtention du Baccalauréat.
Durant trois années, elle participe à de nombreux concerts, tournées et enregistrements discographiques en France et à l’étranger, sous la baguette de Mikko Franck, Bertrand de Billy, Myung-Whun Chung.

A 18 ans elle poursuit son cursus musical au sein du Chœur Adulte de la Maîtrise de Notre-Dame de Paris. Elle suit une formation de chanteuse lyrique auprès de Valérie Guillorit et se produit notamment en tant que soliste à la Cathédrale Notre-Dame de Paris. 
Dans le cadre de ses études, elle interprète le rôle de la Marraine dans Cendrillon de Laruette, puis Hattie dans Kiss me Kate de Cole Porter. Elle joue le rôle de la cousine dans La Périchole d’Offenbach, dans une production de l’Académie Ravel de Saint – Jean de Luz en août 2019.
La même année, c’est en tant que soliste qu’elle chante dans la Cantate 21 de Jean-Sébastien Bach et la Grande Messe en Ut de Mozart.
Lors de la cérémonie religieuse des obsèques de Jacques Chirac, elle interprète le « Pie Jesu » de Gabriel Fauré. Enfin, à l’occasion de la soirée de remise de prix de Europa Nostra présidée par Plácido Domingo, elle chante sur la scène du Théâtre du Châtelet.

Thaïs intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 2020 où elle suit entre autre l’enseignement de Chantal Mathias et Anne Le Bozec. Dans ce cadre, elle interprète le rôle de Ida dans Die Fledermaus de Strauss mis en scène par Nicola Raab. 
Thaïs est lauréate du Legs Godart Gareska en 2020. 

portrait de Vincent Lièvre-Picard
photographie Olivier Vinot

Vincent Lièvre-Picard

Ténor

Vincent LIÈVRE-PICARD interprète le rôle-titre dans Actéon de Charpentier au Théâtre de Bordeaux, celui de Zoroastre de Rameau à Marseille, Cecco (Il Mondo della Luna, Haydn) à Angers et le Erzähler (Der Mond, Orff) à l’Opéra National de Paris Bastille. Il chante Tamino (Die Zauberflöte) à Toulon, et les Valets des Contes d’Hoffmann à Grenoble. Il a interprété Arnalta du Le Couronnement de Poppée (Monteverdi) sous la direction de René Jacobs, puis l’Aviateur dans Le Petit Prince, de Michaël Lévinas, à Lausanne, Lille, Genève puis au Théâtre du Châtelet à Paris ; il participe également à la création de Wilde, d’Hector Parra, donné dans le cadre du Festival de Schwetzingen.

Au concert, ses Évangélistes des Passions de Bach ont pris, sous l’impulsion de Michel Corboz, une résonnance internationale ; il interprète en outre fréquemment des œuvres du répertoire baroque français, et les oratorios de Mozart, Haydn, Berlioz, Dvorak, Rachmaninov, Orff et Britten.
Parmi sa soixantaine d’enregistrements, outre les Mélodies françaises de Lou Koster, enregistrées avec Emmanuel Olivier au piano, et la participation à l’enregistrement de l’intégrale de l’œuvre de Beethoven, parue chez Warner Music à l’occasion de l’anniversaire de sa naissance, on distinguera Le Petit Prince de Michaël Lévinas, Prix du Président de la République au palmarès 2017 de l’Académie Charles Cros.

Vincent Lièvre-Picard enseigne le chant au Conservatoire Royal de Bruxelles depuis septembre 2021.

portrait de Sébastien Brohier

Sébastien Brohier

Basse

Sébastien BROHIER passe une enfance musicale à Caen entre Maîtrise et formation d’écriture, de piano, et de direction, avant de se spécialiser en musique ancienne au Centre de Musique Baroque de Versailles. Il poursuit ses études lyriques au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. Ce parcours achevé, il intègre le Centre de Formation à la Technique Alexander de Paris, début d’une nouvelle aventure dans l’accompagnement vers l’autonomie de la voix et du corps. Intéressé par des univers multiples et à la recherche de différents moyens d’expression, son activité professionnelle se partage ainsi entre participation à des ensembles vocaux (Accentus, Cythera, Ensemble Gilles Binchois, Ensemble Irini, Les Surprises…), interventions comme solistes d’oratorio (Bach Collegium Paris, Muses Galantes, Les Goûts Réunis), récitals (Chants d’Albion, Vezelay), photographie, documentaire vidéo (reportages, vidéo promotionnelles, trailer) et enseignement de la Technique Alexander.

portrait de Camille Tresmontant

Camille Tresmontant

Ténor

Originaire d’Avignon, Camille Tresmontant découvre le chant lyrique aux côtés du baryton Pierre Guiral, qui lui confie ses premiers engagements scéniques. Suite à son diplôme obtenu au conservatoire de Nîmes dans la classe de Daniel Salas, Camille Tresmontant intègre le CNSMD de Lyon.
Durant ses études, l’Opéra de Marseille lui confie son premier engagement dans une production de La Traviata, ainsi que le rôle de Vincent (Mireille) au foyer de l’Opéra.
Camille a été membre du Studio de l’Opéra National du Rhin pendant deux saisons, où il participe à des mises en scène de Robert Carsen (Don Carlo) et d’Olivier Py (Pénélope). Il retrouve Marseille pour l’Aiglon, Madame Butterfly, et rejoint l’Opéra de Toulon pour La Flûte Enchantée.
Il découvre son premier Tamino lors d’une production en Guadeloupe, puis est engagé par l’Opéra de Bordeaux pour le Stabat Mater de Rossini, avant de rejoindre Venise à l’invitation du Palazzetto Bru Zane.
Il interpréte le rôle de Belmonte dans une tournée de l’Enlèvement au Sérail, sous la direction de Julien Chauvin. Il a également pris part aux productions de La Flûte Enchantée à l’Opéra de Tours, de Phèdre à l’Opéra de Limoges et de Faust à l’Opéra de Nice.
A l’Opéra de Saint-Etienne, il a récemment incarné Don Ottavio et Rodriguez dans Don Giovanni et Don Quichotte. En 2021 et 2022, il aborde le rôle de Ramiro dans une tournée de Cenerentola de Rossini et retrouve notamment l’Opéra de Marseille pour Guillaume Tell, avant de s’envoler pour la Guadeloupe pour une production de Don Giovanni.
Parmi ses projets, il incarnera Camille de Coutançon à l’Opéra de Saint-Etienne pour la Saint-Sylvestre 2022/23.

portrait de Frédéric Cornille

Frédéric Cornille

Baryton lyrique

Sa carrière débute en 2009 avec L’occasione fa il ladro au Festival “off“ d’Aix-en-Provence.
Il a depuis abordé en scène les principaux rôles du baryton lyrique : Rôle-titre de Don Giovanni, les rôles de Escamillo/Carmen, Malatesta/Don Pasquale, Alphonse XI/La Favorite, Marcello/La Bohème, Zurga/Les Pêcheurs de Perles, Albert/ Werther Giorgio Germont/La traviata, rôle-titre de Rigoletto, Pelléas et Danilo/ La Veuve joyeuse dans le cadre des Opéra de Nice Côte d’Azur, Opéra national de Montpellier, Opéra de Marseille, Opéra de Saint-Etienne, Opéra d’Avignon – du Festival Opéra des Landes et du Festival Mezzavoce.
Il a été invité en Allemagne par les Glückfestspiele Nürnberg pour le rôle d’Orest dans Iphigénie en Tauride/ Puccinni et par le Mozartfest Würzburg pour le rôle-titre de Don Giovanni.
Diplômé en 2007 du Conservatoire de Nîmes, dans la classe de Daniel Salas, il a bénéficié de l’enseignement des meilleurs barytons de la génération précédente : Alain Fondary et Gabriel Bacquier.
Rôles interprétés en scène :
Mozart : Don Giovanni/Don Giovanni/ Rossini : Figaro/ Il Barbiere di Siviglia, Parmenione/L’Occasione fa il ladro Donizetti : Henri Ashton/Lucia di Lammermoor/ Belcore/l’elisir d’amore/ Malatesta/Don Pasquale. Gounod : Grégorio/Roméo et Juliette Offenbach : Lieutenant Robert/La Fille du Tambour-Major Bizet : Zurga/Les Pêcheurs de perles Puccini : Marcello/La Bohème Verdi: Rigoletto (rôle-titre) Lehàr: La veuve Joyeuse, Danilo/ Debussy: Pelléas et Mélisande, Pelléas.
Rôles préparés : Mozart : Conte/Le Nozze di Figaro Gounod : Valentin/Faust, Mercutio/Roméo et Juliette, Leoncavallo : Silvio/Pagliacci.
Répertoire de concert :
Puccini : “Missa di gloria” ; Fauré : Requiem ; Rossini Petite Messe Solennelle ; Schumann Dichterliebe ; Brahms Ein Deutsches Requiem.

Apolline Raï

Apolline Raï-Westphal

Soprano

Après des études de piano au Conservatoire d’Alès, Apolline Raï-Westphal débute le chant lyrique dans le cadre d’Opéra Junior à l’Opéra National de Montpellier. Elle poursuit son cursus au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison dans la classe de Mary Saint-Palais et rejoint la même année l’Académie du Chœur de l’Orchestre de Paris – direction Lionel Sow.

Elle intègre le Département Supérieur pour Jeunes Chanteurs du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris en 2015 dans la classe d’Elsa Maurus et y obtient en juin 2018 son Diplôme d’Etudes Musicales à l’unanimité avec les félicitations du jury.
Dans ce cadre, elle participe à de nombreux projets dont : Didon et Enée de Purcell avec l’Arcal parmi les chœurs puis comme soliste dans le rôle de Belinda (2018 | Opéra de Massy et Théâtre de l’Athénée Paris), La vie Parisienne d’Offenbach (2019), La Chauve-Souris de Strauss (2018), Orphée aux Enfers d’Offenbach (2017) et La Traviata de Verdi (2016).

Elle reçoit l’enseignement de Nora Gubish et Felicity Lott lors de Masterclasses. 
A la scène, elle est notamment Cendrillon dans l’opéra-comique de Laruette (2017), interprète le rôle d’Aloès dans l’Etoile de Chabrier, mise en scène Benoit Bénichou (2014) et Polly dans le Beggar’s Opera de Britten à L’Opéra Comédie de Montpellier avec L’Orchestre National de Montpellier (2013).

Apolline Raï-Westphal est finaliste au Concours Opéra Raymond Duffaut Jeunes Espoirs d’Avignon en septembre 2017 ainsi qu’au Concours du Festival  Musique et Langue Françaises  de Triel sur Seine en Novembre 2018.
Parmi ses projets, le rôle de Chloé dans la création mondiale Narcisse, à l’automne 2019 avec la compagnie Arcal, à Paris.

Suite à sa récente réussite au concours d’entrée au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle poursuivra ses études dans ce cadre dès septembre 2019.

portrait de Els Janssens
Els Janssens

Els Janssens

Mezzo soprano

L’amour du mot et du sens ainsi que leur émotion portée à la scène accompagnent Els Janssens à travers 12 siècles de musique dite classique, de la monodie médiévale à l’opéra contemporain en passant par la polyphonie renaissance et l’oratorio.

Els Janssens se produit en concert et enregistre avec des musiciens et ensembles de renommée internationale tels que l’EOC-Ensemble Orchestral Contemporain (D. Kawka), Ensemble Cairn (G. Bourgogne), Les Solistes XXI (R. Safir), l’Experimental-Studio Freiburg-SWR et le SWR-Sinfonie-Orchester (I. Metzmacher et M. Hofman), Musicatreize (R. Hayrabédian), l’Ensemble Leones (M. Lewon), Ensemble Dialogos (K. Livljanic), Mora Vocis (E. Janssens) … De nombreux disques et productions auxquels elle a participé ont reçu des récompenses.
En étroite collaboration avec des compositeurs et compositrices de notre temps, Els Janssens crée souvent de nouvelles partitions en concert, en enregistrement et à l’opéra. À Angers-Nantes-Opéra en 2016, elle crée deux rôles dans « Maria Republica », le premier opéra de François Paris mis en scène par Gilles Rico. À l’automne 2022, elle y retourne, ainsi qu’à Rennes, en Elisabeth Vercors dans « L’Annonce faite à Marie », opéra contemporain de Philippe Leroux et mis en scène par Célie Pauthe. Les deux productions accueillies très chaleureusement par le public et omni-saluées par les critiques reçoivent plusieurs prix et nominations.
Pour « Il pleut des voix de femmes », la monographie de Sophie Lacaze (sortie prévue au printemps 2023), Els Janssens est entourée de la pianiste Marie Vermeulin, du saxophoniste Michel Supéra, du comédien Alain Carré et des chanteuses de Mora Vocis.

Avec l‘Ensemble Mora Vocis – voix solistes au féminin, dont elle assure la direction artistique, Els Janssens conçoit des spectacles mêlant musique médiévale et contemporaine, de la vidéo, du théâtre, de la danse ou encore du cirque.
Parallèlement à sa carrière de chanteuse, Els Janssens anime des stages et des masterclass de chant et intervient en tant que conseillère musicale-linguistique-scénique auprès de différents artistes et ensembles. Elle enseigne le chant médiéval à l’IIMM à Aubagne après être intervenue pendant plusieurs années à l’Université Paul Valéry – Montpellier 3.

Sébastien Mazoyer

Sébastien Mazoyer

Pianiste, accordéoniste

 

Sébastien MAZOYER commence le piano au CRD de Nîmes dans la classe de Catherine Silie. Il poursuit ses études de piano au CRR de Rueil Malmaison puis au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Michel Bérof et Denis Pascal. Il se perfectionne auprès de professeurs tels que Jacques Rouvier, Muza Rubackyté, Florent Bofard et Marie Paul Milone.

Parallèlement, il commence l’étude de l’accordéon à l’âge de 14 ans et obtient un 1er prix à l’unanimité au CRD d’Aix en Provence ainsi que diverses distinctions dans des concours nationaux et internationaux (1er prix Adolphe Deprince, 3ème prix de la Coupe d’Europe, lauréat de la Coupe Mondiale, Champion d’Europe à deux reprises avec l’orchestre d’accordéon de Nîmes).

Sa formation et ses rencontres musicales l’emmènent à jouer dans plusieurs formations de musique de chambre et participer à de nombreux festivals (festival de Labeaume, festival de Radio France, festival de Carthage, festival de Nîmes, etc.). Il se produit également en soliste dans la musique de Bach, Galliano ou Piazzolla à l’accordéon ou au piano dans la Rhapsodie and Blue de Gershwin.

Musicien éclectique, il collabore avec des compagnies de théâtre (festival d’Avignon), à la création de ciné-concerts (ciné-concert Chronos, cinéconcert et disque sur le film « le fantôme de l’opéra …) et parcourt aussi d’autres styles musicaux comme la musique improvisée avec le Nikka trio, ou encore, la musique d’Astor Piazzolla.

Également enseignant, il est accompagnateur des disciplines instrumentales au Conservatoire de Nîmes depuis 2015.

portrait Ulrich Messthaler
© 2016 Judith Schlosser

Ulrich  Messthaler

Basse

Apres des études à Munich, Bâle et New York, Ulrich Messthaler est  l’invité de festivals internationaux tels que Royaumont, Innsbruck, Bâle, Limoges, Utrecht, Beaune, Ambronay ou Milan.

Il participe également à des productions lyriques à Monte Carlo, Zurich, Bâle, Hambourg, Stuttgart et Bruxelles, et ne tarde pas à se produire en concert sous la direction de chefs illustres: Jordi Savall, Armin Jordan, Josua Rifkin, René Jacobs…

Il a chanté dans des salles prestigieuses: Tonhalle de Zurich, Musikverein de Vienne, Philharmonies de Cologne et de Berlin, Philhamonie et Herkulessaal de Munich, Palais Garnier à Paris et Suntory Hall à Tokyo.

Il a interprété Jésus dans la « Passion selon Saint-Jean » de Bach sous la direction de René Jacobs au Théâtre des Champs Elysées à Paris, œuvre retransmise en direct le Vendredi Saint sur Radio France.

Sa passion reconnue pour la recherche de pointe en musicologie, notamment sur les aspects historiques du chant, font d’Ulrich Messthaler un invité régulier depuis 2014 à la Fondation Royaumont à Paris.

En 2017 et 2018 il participe à des colloques à l’Université Paris-Sorbonne et en 2019, il est invité par la Haute Ecole de Musique « Hans Eisler » à Berlin pour des séminaires sur l’esthétique du chant aux 19e et 20e siècles.

Elève de maîtres réputés comme Gérard Souzay, Thomas LoMonaco, Magreet Honig ou Sergiu Celibidache, Ulrich Messthaler est aujourd’hui un « coach vocal » très demandé. Il donne des master-classes en Allemagne, Italie, Angleterre, France, Brésil, Pologne et Slovénie.

Ulrich Messthaler est depuis 1990 professeur de chant à la Schola Cantorun Basiliensis en Suisse, centre d’’éducation et de recherche en musique ancienne, où il dirige également une classe de Lied.

 Il  a enregistré plus de trente titres qui lui ont valu de prestigieux prix internationaux: Diapason d’Or, Deutscher Schallplattenpreis, Grammophon Award et « Best Record of the Year » du New York Times.

portrait de Raphaële Kennedy
photo Isabelle Françaix

Raphaële Kennedy

Soprano

Interprète soliste et polyphoniste, elle consacre sa vie artistique à l’interprétation de la musique dite ancienne et à la création d’œuvres contemporaines, avec la même exigence d’en tirer la palpitation du sens et le même désir d’en donner le goût afin d’en transmettre l’émotion.
D’abord reconnue auprès de grandes figures de la musique ancienne telles Jordi Savall, François Lazarevitch, Jean-Marc Aymes, Guido Balestracci, Jean Tubéry et au sein d’A Sei Voci, de l’ensemble William Byrd, des Paladins, du Poème Harmonique, des Demoiselles de Saint-Cyr…, elle est aussi désormais une référence en création contemporaine.
Dédicataire de quantité d’œuvres et travaillant en étroite relation avec compositeurs et électroacousticiens, elle est la voix des concerts visuels de Kaija Saariaho et Jean-Baptiste Barrière, l’héroïne de L’Annonce faite à Marie de Philippe Leroux, le rôle-titre de L’Enfant inouï de Laurent Cuniot, l’interprète privilégiée de Pierre-Adrien Charpy et sollicitée par Robert Pascal, Mauro Lanza, Gianvincenzo Cresta, Matteo Franceschini, Ben Foskett, Loïse Bulot et Bertrand Wolff.
Spécialiste du récital pour voix seule et électronique, elle est invitée des ensembles TM+ (Laurent Cuniot), Multilatérale et Les Métaboles (Léo Warynski), Ars Nova (Benoît Sitzia) et Regards. Elle a été membre permanent des Solistes XXI (Rachid Safir).
Elle assure avec Pierre-Adrien Charpy la direction artistique de la compagnie Da Pacem. C’est dans ce cadre – du duo jusqu’au petit ensemble et aux spectacles pluridisciplinaires ou multimédias – qu’elle appuie librement son travail sur la sensualité, la théâtralité et la rhétorique.
Elle privilégie ainsi la transparence incarnée de la voix, la justesse de style, l’éclat qui surgit sur l’angle du mot et le geste déclamatoire qui fait de la musique l’amplification de la parole. Elle a réalisé une quarantaine d’enregistrements et a fondé la collection musicale et visuelle Avec du label Cypres.

portrait de Michel Chanard

Michel Chanard

Pianiste, Claveciniste, Organiste

Natif de Bagnols sur Cèze, Michel Chanard est depuis 1979, titulaire du Grand-Orgue récemment restauré de l’église Saint Jean-Baptiste de Bagnols et de l’église des Saints- Martyrs de Marrakech au Maroc. Il se spécialise dans l’accompagnement à l’orgue, piano et clavecin de solistes tels que le trompettiste Bernard Soustrot, le ténor Jean Luc Viala, la soprano Adina Aaron,la soprano Emmanuelle de Negri… il se produit dans diverses formations Orchestrales et vocales de la région (orchestre de chambre d’Avignon, orchestre de chambre d’Uzès, le Madrigal de Nîmes, l’Ensemble Vocal d’Avignon…)

Michel Chanard comme pianiste et organiste s’est produit en Europe, au Canada, au Maroc, en 2018 à Marrakech invité par l’institut Français pour un ciné-concert avec la Soprano Valeria Florencio et le journaliste Bernard Vadon et en juin 2019 comme organiste lors d’un concert à l’église des Saints Martyrs de Marrakech organisé par l’ambassade de Hongrie et les amis de l’orgue de Marrakech. Il a participé en juin 2021 à la messe télévisée dans l’émission « le Jour du Seigneur » diffusée sur France 2. Michel Chanard, a enregistré 3 CD avec le ténor Patrick Garayt.

Également compositeur et arrangeur, ses œuvres sont éditées chez Fortin-Armiane à Paris. Sa dernière pièce musicale intitulée « Renaissance » pour Orchestre et Orgue a été donnée à Bagnols sur Cèze en octobre 2021 par l’Orchestre symphonique de Perpignan/Catalogne sous la direction de Daniel Tosi. Sa sonate pour Clarinette et orgue sera créée en aout 2023. Michel Chanard est depuis 2012, Sociétaire de la SACEM

Ensemble Colla Parte à Nîmes
Artistes associés Ensemble Colla Parte à Nîmes

Ensemble Colla Parte

Ensemble Instrumental

La musique ancienne est au centre du projet de Colla Parte.
Les expériences et les recherches sont partagées par des musiciens formés et sensibilisés à l’esthétique baroque et classique.

Bien au delà de la spécialisation qui fait l’originalité de notre ensemble, c’est l’interprétation authentique qui nous séduit, un dialogue juste et équilibré entre instruments et voix, proche du texte musical.

De la musique de chambre à l’opéra bouffe en passant par des formations de chambre, Colla Parte propose également d’accompagner le parcours de jeunes musiciens et chanteurs sur ces répertoires, autour de l’apprentissage de la scène, tout en diversifiant les publics et lieux de diffusion.

La saison 2019, deuxième volet du thème Sacrés amours … Amour sacré, visitera plus particulièrement les œuvres de Mozart à travers concerts et conférences.

Responsable artistique: Silvio Failla